Un monteur de cinéma s'empare de l'oeuvre de Jean-Pierre Mocky et de démontage en remontage, réécrit sa propre vie dans la société française de 1959 à nos jours.
Un matin, dans une petite maison de la banlieue parisienne, un homme âgé découvre son chien mort dans sa corbeille. Il décide de l’enterrer dans son jardin puis décroche son téléphone pour prendre un mystérieux rendez-vous.
Des «Snobs», sorti en 1961, à aujourd'hui, Jean-Pierre Mocky s'est moqué de tout : la politique, la religion, le sexe, les affaires, les bourgeois, les profiteurs, les magouilleurs. Utilisant à merveille ses acteurs, il a une façon très personnelle et originale de filmer, créant un climat...
Big, un truand d'une cinquantaine d'années sort de prison et va rechercher l'argent qu'il a planqué avant son arrestation. Puis, il vient dans le quartier où habite sa femme avec laquelle il a rompu avant son arrestation. Son désir est de revoir sa fille qu'il a quittée alors qu'elle était...
La parole de Mocky, les extraits de ses films et des scènes filmées sur le plateau de son 75e film, Rouges étaient les lilas (2016), permettent de retracer la carrière de ce franc-tireur à l’énergie légendaire.
Bien sûr, vous connaissez les films de Mocky ? Vous trouvez ça quelque peu déjanté et vous vous demandez comment on peut faire de tels ovnis cinématographiques ? C’est que vous ne connaissez pas Mocky lui-même : il est pire que ses films… Quelle pêche, quelle ardeur, même pour trouver...